aimée encore

Ton regard oblique en rien n’est lubrique
Ta maman t’a trop fessé
Ton goût du revers n’a rien de pervers
Et ton bébé n’est pas fâché
Ton Kamasutra a bien cent ans d’âge
Mon Dieu que c’est démodé
Le nec plus ultra en ce paysage
C’est d’aimer les deux côtés
Ta majesté, jamais ne te déplace
Sans ton petit oreiller
À jamais, je suis ton unique classe
Tout n’est que prix à payer
Tu fais des “ah”, des “oh” derrière ton ouvrage
Quand mon petit pantalon
Debout et de dos, sans perdre courage
Dénude tes obsessions
Tu t’entêtes à te foutre de tout
Mais pourvu qu’elles soient douces
D’un poète tu n’as que la lune en tête
De mes rondeurs tu es K.O.
Tu t’entêtes à te foutre de tout
Mais pourvu qu’elles soient douces
D’un esthète tu n’as gardé qu’un air bête
Tout est beau si c’est vu de dos
Prose ou poésie, tout n’est que prétexte
Pas la peine de t’excuser
Muse ou égérie, mes petites fesses
Ne cessent de t’inspirer
Je fais des “ah”, des “oh”, jamais ne me lasse
Par amour pour un toqué
Ne faut-il pas que jeunesse se passe
À quoi bon se bousculer ?
Et tu t’entêtes à te foutre de tout
Mais pourvu qu’elles soient douces
D’un poète tu n’as que la lune en tête
De mes rondeurs tu es K.O.
Et tu t’entêtes à te foutre de tout
Mais pourvu qu’elles soient douces
D’un esthète tu n’as gardé qu’un air bête
Tout est beau si c’est vu de dos
Et tu t’entêtes à te foutre de tout
Mais pourvu qu’elles soient douces
Et tu t’entêtes à te foutre de tout
Mais pourvu qu’elles soient douces
Et tu t’entêtes à te foutre de tout
Mais pourvu qu’elles soient douces
Et tu t’entêtes à te foutre de tout
Mais pourvu qu’elles soient douces
Viens, mais ne viens pas quand je serai seule
Quand le rideau un jour tombera
Je veux qu’il tombe derrière moi
Viens, mais ne viens pas quand je serai seule
Moi qui ai tout choisi dans ma vie
Je veux choisir ma mort aussi
Il y a ceux qui veulent mourir un jour de pluie
Et d’autres en plein soleil
Il y a ceux qui veulent mourir seuls dans un lit
Tranquilles dans leur sommeil
Moi je veux mourir sur scène
Devant les projecteurs
Oui, je veux mourir sur scène
Le cœur ouvert tout en couleurs
Mourir sans la moindre peine
Au dernier rendez-vous
Moi je veux mourir sur scène
En chantant jusqu’au bout
Viens, mais ne viens pas quand je serai seule
Tous les deux on se connaît déjà
On s’est vus de près, souviens-toi
Viens, mais ne viens pas quand je serai seule
Choisis plutôt un soir de gala
Si tu veux danser avec moi
Ma vie a brûlé sous trop de lumières
Je ne peux pas partir dans l’ombre
Moi je veux mourir fusillée de lasers
Devant une salle comble
Moi je veux mourir sur scène
Devant les projecteurs
Oui je veux mourir sur scène
Le cœur ouvert tout en couleurs
Mourir sans la moindre peine
Au dernier rendez-vous
Moi je veux mourir sur scène
En chantant jusqu’au bout
Mourir sans la moindre peine
D’une mort bien orchestrée
Moi, je veux mourir sur scène
C’est là que je suis née
Si on reconsidère les choses
Je ne suis pas ton idéal
Écoute ce que je te propose
Descends-moi de mon piédestal
Je ne suis pas celle qu’on dispose
En jolie statue de cristal
Je préfère quand tout nous oppose
Sois mon rival
L’amour a tellement de visages
À toi d’ouvrir les yeux
Est-ce que tu envisages
Toutes les femmes de ta vie
En moi réunies
Ton âme sœur, ton égérie
Parfois ta meilleure ennemie
Toutes les femmes de ta vie
Glamour ou sexy
L’héroïne de tes envies
Je suis toutes les femmes tu vois, toutes les femmes de ta vie
Je ferai semblant de te croire
Quand parfois je sais que tu mens
Je ne ferai même pas d’histoire
Si tes ex reviennent en courant
Je suis aussi ton oxygène
Quand tu as le souffle coupé
Une histoire pour s’éloigner des
Contes de fées
L’amour a tellement de visages
À toi d’ouvrir les yeux
Est-ce que tu envisages
Toutes les femmes de ta vie
En moi réunies
Ton âme sœur, ton égérie
Parfois ta meilleure ennemie
Toutes les femmes de ta vie
Glamour ou sexy
L’héroïne de tes envies
Je suis toutes les femmes tu vois, toutes les femmes de ta vie
Toutes
Celles que je suis
Sont là en moi
Tu vois
Si tu fermes les yeux
Regarde en toi
Regarde un peu tout ce que tu perds
Toutes les femmes de ta vie
En moi réunies
Ton âme sœur, ton égérie
Parfois ta meilleure ennemie
Toutes les femmes de ta vie
Glamour ou sexy
L’héroïne de tes envies
Je suis toutes les femmes tu vois, toutes les femmes de ta vie
Je suis toutes les femmes tu vois, toutes les femmes de ta vie
Rue déserte
Dernière cigarette, plus rien ne bouge
Juste un bar qui éclaire le trottoir
D’un néon rouge
J’ai besoin
De trouver quelqu’un, j’veux pas dormir
Je cherche un peu de chaleur à mettre dans mon cœur
Ils m’entraînent au bout de la nuit (Qui ça ? Qui ça ?)
Les démons de minuit
M’entraînent jusqu’à l’insomnie (Qui ça ? Qui ça ?)
Les fantômes de l’ennui
Dans mon verre
Je regarde la mer qui se balance (qui se balance)
J’veux un disque
De Funky Music, faut que ça danse (faut que ça danse)
J’aime cette fille
Sur talons-aiguilles qui se déhanche
Ça met un peu de chaleur au fond de mon cœur
Ils m’entraînent au bout de la nuit (Qui ça ? Qui ça ?)
Les démons de minuit
M’entraînent jusqu’à l’insomnie (Qui ça ? Qui ça ?)
Les fantômes de l’ennui
Ils m’entraînent au bout de la nuit (Qui ça ? Qui ça ?)
Les démons de minuit
M’entraînent jusqu’à l’insomnie (Qui ça ? Qui ça ?)
Les fantômes de l’ennui
J’aime cette fille
Sur talons-aiguilles qui se déhanche
Ça met un peu de chaleur au fond de mon cœur
Ils m’entraînent au bout de la nuit
Les démons de minuit
M’entraînent jusqu’à l’insomnie
Les fantômes de l’ennui
Ils m’entraînent au bout de la nuit (jusqu’au bout de la nuit)
Les démons de minuit
M’entraînent jusqu’à l’insomnie (ils m’entraînent)
Les fantômes de l’ennui
(Qui ça ? Qui ça ?)
(Qui ça ? Qui ça ?)
(Jusqu’au bout de la nuit)
Pourquoi les gens qui s’aiment
Sont-ils toujours un peu les mêmes ?
Ils ont quand ils s’en viennent
Le même regard d’un seul désir pour deux
Ce sont des gens heureux
Pourquoi les gens qui s’aiment
Sont-ils toujours un peu les mêmes ?
Quand ils ont leurs problèmes
Y’a rien à dire
Y a rien à faire pour eux
Ce sont des gens qui s’aiment
Et moi j’te connais à peine
Mais ce s’rait une veine
Qu’on s’en aille un peu comme eux
On pourrait se faire sans qu’ça gêne
De la place pour deux
Mais si ça n’vaut pas la peine
Que j’y revienne
Il faut me l’dire au fond des yeux
Quel que soit le temps que ça prenne
Quel que soit l’enjeu
Je veux être un homme heureux
Pourquoi les gens qui s’aiment
Sont-ils toujours un peu rebelles ?
Ils ont un monde à eux
Que rien n’oblige à ressembler à ceux
Qu’on nous donne en modèle
Pourquoi les gens qui s’aiment
Sont-ils toujours un peu cruels ?
Quand ils vous parlent d’eux
Y’a quelque chose qui vous éloigne un peu
Ce sont des choses humaines
Et moi j’te connais à peine
Mais ce s’rait une veine
Qu’on s’en aille un peu comme eux
On pourrait se faire sans qu’ça gêne
De la place pour deux
Mais si ça n’vaut pas la peine
Que j’y revienne
Il faut me l’dire au fond des yeux
Quel que soit le temps que ça prenne
Quel que soit l’enjeu
Je veux être un homme heureux
Je veux être un homme heureux
Je veux être un homme heureux
Fly me to the moon
Let me play among the stars
Let me see what spring is like
On Jupiter and Mars
In other words, hold my hand
In other words, baby, kiss me
Fill my heart with song
And let me sing for ever more
You are all I long for
All I worship and adore
In other words, please be true
In other words, I love you
Fill my heart with song
Let me sing for ever more
You are all I long for
All I worship and adore
In other words, please be true
In other words, oh in other words
In other words, I f****** love you
Oh yeah
Hey, Martinez…
Donne-moi ton cœur, baby
Ton corps, baby yeah
Donne-moi ton bon vieux funk
Ton rock, baby
Ta soul, baby yeah
Chante avec moi, je veux une femme like you
Pour m’emmener au bout du monde
Une femme like you, hey, hey !
Quand tu chantes, j’oublie, j’ai plus le moindre souci
J’ai le mal qui fuit, tu donnes un son à ma vie
Et puis j’sais pas qu’est-ce qui s’passe
T’as ce regard dans la face
Qui me ramène à la case départ, là où j’suis parti
Nous ramène à la soirée du bar, quand on est sortis
Donne-moi ton cœur, baby
Ton corps, baby hey
Donne-moi ton bon vieux funk
Ton rock, baby
Ta soul, baby hey
Chante avec moi, je veux un homme like you
Bad boy, tu sais qu’tu m’plais
Un homme like you, hey, hey !
Che confusione, sarà perché ti amo
È un’emozione che cresce piano piano
Stringimi forte e stammi più vicino
Se ci sto bene, sarà perché ti amo
Io canto al ritmo del dolce tuo respiro
È primavera, sarà perché ti amo
Cade una stella, ma dimmi dove siamo
Che te ne frega, sarà perché ti amo
E vola, vola, si sa
Sempre più in alto si va
E vola, vola con me
Il mondo è matto perché
E se l’amore non c’è
Basta una sola canzone
Per far confusione fuori e dentro di te
E vola, vola, si va
Sempre più in alto si va
E vola, vola con me
Il mondo è matto perché
E se l’amore non c’è
Basta una sola canzone
Per far confusione fuori e dentro di te
Ma, dopotutto, che cosa c’è di strano?
È una canzone, sarà perché ti amo
Se cade il mondo, allora ci spostiamo
Se cade il mondo, sarà perché ti amo
Stringimi forte e stammi più vicino
È così bello che non mi sembra vero
Se il mondo è matto, che cosa c’è di strano?
Matto per matto, almeno noi ci amiamo
E vola, vola, si sa
Sempre più in alto si va
E vola, vola con me
Il mondo è matto perché
E se l’amore non c’è
Basta una sola canzone
Per far confusione fuori e dentro di te
E vola, vola si va
Sarà perché ti amo
E vola, vola con me
E stammi più vicino
E se l’amore non c’è
Ma dimmi dove siamo
Che confusione, sarà perché ti amo
Sarà perché ti amo
Sarà perché ti amo
J’ai touché le fond de la piscine
Dans le petit pull marine
Tout déchiré aux coudes
Qu’j’ai pas voulu recoudre
Que tu m’avais donné
J’me sens tellement abandonnée
Y’ a pas qu’au fond de la piscine
Que mes yeux sont bleu marine
Tu les avais repérés
Sans qu’il y ait un regard
Et t’avais rappliqué
Maintenant je paie l’effet retard
Avant de toucher le fond
Je descends à reculons
Sans trop savoir ce qui se passait dans le fond
C’est plein de chlore au fond de la piscine
J’ai bu la tasse tchin-tchin
Comme c’est pour toi je m’en fous
Je suis vraiment prête à tout
Avaler que m’importe
Si on me retrouve à moitié morte
Noyée au fond de la piscine
Personne ne te voyait
Sous mon petit pull marine
M’enlacer j’t’embrassais
Jusqu’au point de non-retour
Plutôt limite de notre amour
Avant de toucher le fond
Je descends à reculons
Sans trop savoir ce qui se passait dans le fond
Viens vite au fond de la piscine
Repêcher ta petite sardine
L’empêcher de se noyer
Au fond de toi la garder
Petite sœur traqueuse
De l’air de ton air amoureuse
Si nous deux c’est au fond dans la piscine
La deux des magazines
Se chargera de notre cas
Et je n’aurai plus qu’à
Mettre des verres fumés
Pour montrer tout ce que je veux cacher
Retrouve-moi au fond d’la piscine
Avant qu’ça m’assassine
De continuer sans toi
Tu peux compter sur moi
J’te referai plus l’plan d’ la star
Qui a toujours ses coups de cafard
J’ai touché le fond de la piscine
Dans ton petit pull marine
C’est étrange, je ne sais pas ce qui m’arrive ce soir
Je te regarde comme pour la première fois
Encore des mots toujours des mots, les mêmes mots
Je ne sais plus comment te dire
Rien que des mots
Mais tu es cette belle histoire d’amour que je ne cesserai jamais de lire
Des mots faciles, des mots fragiles c’était trop beau
Tu es d’hier et de demain
Bien trop beau
De toujours ma seule vérité
Mais c’est fini le temps des rêves
Les souvenirs se fanent aussi quand on les oublie
Tu es comme le vent qui fait chanter les violons
Et emporte au loin le parfum des roses
Caramels, bonbons et chocolats
Par moments, je ne te comprends pas
Merci, pas pour moi mais tu peux bien les offrir à une autre
Qui aime le vent et le parfum des roses
Moi les mots tendres enrobés de douceur
Se posent sur ma bouche, mais jamais sur mon cœur
Une parole encore
Paroles et paroles et paroles
Écoute-moi
Paroles et paroles et paroles
Je t’en prie
Paroles et paroles et paroles
Je te jure
Paroles et paroles et paroles et paroles et paroles
Et encore des paroles que tu sèmes au vent
Voilà mon destin, te parler
Te parler comme la première foi
Encore des mots toujours des mots, les mêmes mot
Comme j’aimerais que tu me comprennes
Rien que des mots
Que tu m’écoutes au moins une fois
Des mots magiques des mots tactiques qui sonnent faux
Tu es mon rêve défendu
Oui tellement faux
Mon seul tourment et mon unique espérance
Rien ne t’arrêtes quand tu commences
Si tu savais comme j’ai envie d’un peu de silence
Tu es pour moi la seule musique qui fait danser les étoiles sur les dunes
Caramels, bonbons et chocolats
Si tu n’existais pas déjà, je t’inventerais
Merci pas pour moi, mais tu peux bien les offrir à une autre
Qui aime les étoiles sur les dunes
Moi les mots tendres enrobés de douceur
Se posent sur ma bouche mais jamais sur mon cœur
Encore un mot, juste une parole
Paroles et paroles et paroles
Écoute-moi
Paroles et paroles et paroles
Je t’en prie
Paroles et paroles et paroles
Je te jure
Paroles et paroles et paroles et paroles
Et encore des paroles que tu sèmes au vent
Que tu es belle
Paroles et paroles et paroles
Que tu es belle
Paroles et paroles et paroles
Que tu es belle
Paroles et paroles et paroles
Que tu es belle
Paroles et paroles et paroles et paroles et paroles
Et encore des paroles que tu sèmes au vent
Y a des jours tu sais pas pourquoi
Ça devrait marcher mais ça marche pas
Y a des nuits tu sais pas pourquoi
Tu devrais dormir mais tu dors pas
Tu voudrais être éclaboussé par le soleil
Mais t’as les boules, pas la frite
T’as les abeilles
Elles sont cuitas les bananas
Découpées en dos, les patatos
Cuitas les bananas
Découpées en dos, les patatos
Y a des jours tu voudrais zapper
Ou tomber en panne d’oreiller
Y a des nuits où tu dynamites
Tu sais même plus ou tu habites
T’as même plus le temps de laisser le temps au temps
Trop tard t’as le pétard
Tête dans le sac, le gros cafard
Elles sont cuitas les bananas
Découpées en dos, les patatos
Cuitas, les bananas
Découpées en dos, les patatos
Cuitas les bananas
Découpées en dos, les patatos
Cuitas les bananas
Découpées en dos, les patatos
Y a des jours tu sembles épanoui
Mais tu t’évapores dans la nuit
Y a des nuits ou tu cours toujours
Ces nuits-là ressemblent à tes jours
Les chats sont gris, la nuit porte conseil
Mais t’es bancal, drapeau rouge
T’as les abeilles
Elles sont cuitas les bananas
Découpées en dos, les patatos
Cuitas les bananas
Découpées en dos, les patatos
Cuitas les bananas
Découpées en dos, les patatos
Cuitas, les bananas
Découpées en dos, les patatos
Cuitas les bananas
Découpées en dos, les patatos
Cuitas les bananas
Découpées en dos, les patatos
Cuitas, les bananas
Découpées en dos, les patatos
Cuitas les bananas
Découpées en dos, les patatos
Cuitas les bananas
Découpées en dos, les patatos
Cuitas, les bananas
Decoupées en dos
Jamais je n’aurais pensé
Tant besoin de lui
Je me sens si envoutée
Que ma maman me dit “ralentis
Désir ou amour
Tu le sauras un jour”
J’aime, j’aime tes yeux
J’aime ton odeur
Tous tes gestes en douceur
Lentement dirigés
Sensualité
Ouh, stop, un instant
J’aimerais que ce moment
Fixe pour des tas d’années
Ta sensualité
Il paraît qu’après quelques temps
La passion s’affaiblit
Pas toujours apparemment
Et maman m’avait dit “ralentis
Désir ou amour
Tu le sauras un jour”
J’aime, j’aime tes yeux
J’aime ton odeur
Tous tes gestes en douceur
Lentement dirigés
Sensualité
Ouh, stop, un instant
J’aimerais que ce moment
Fixe pour des tas d’années
Ta sensualité
Je te demande si simplement
Ne fais pas semblant
Je t’aimerai encore
Et encore
J’aime, j’aime tes yeux
J’aime ton odeur
Tous tes gestes en douceur
Lentement dirigés
Sensualité
Ouh, stop, un instant
J’aimerais que ce moment
Fixe pour des tas d’années
Ta sensualité
J’aime, j’aime tes yeux
J’aime ton odeur
Tous tes gestes en douceur
Lentement dirigés
Sensualité
Ouh, stop, un instant
J’aimerais que ce moment
Fixe pour des tas d’années
Ta sensualité
Un crocodile s’en allant à la guerre
Disait au revoir à ses petits enfants
Traînant ses pieds, ses pieds dans la poussière
Il s’en allait combattre les éléphants
Ah les crocrocro, les crocrocro, les crocodiles
Sur les bords du Nil ils sont partis, n’en parlons plus
Ah les crocrocro, les crocrocro, les crocodiles
Sur les bords du Nil ils sont partis, n’en parlons plus
Il fredonnait une marche militaire,
Dont il mâchait les mots à grosses dents.
Quand il ouvrait la gueule tout entière,
On croyait voir ses ennemis dedans
Ah les crocrocro, les crocrocro, les crocodiles
Sur les bords du Nil ils sont partis, n’en parlons plus
Ah les crocrocro, les crocrocro, les crocodiles
Sur les bords du Nil ils sont partis n’en parlons plus
Un éléphant parut et sur la terre
Se prépara ce combat de géants
Mais près de là, courait une rivière
Le crocodile s’y jeta subitement
Ah les crocrocro, les crocrocro, les crocodiles
Sur les bords du Nil ils sont partis, n’en parlons plus
Ah les crocrocro, les crocrocro, les crocodiles
Sur les bords du Nil ils sont partis n’en parlons plus
Ah les crocrocro, les crocrocro, les crocodiles
Sur les bords du Nil ils sont partis, n’en parlons plus
Ah les crocrocro, les crocrocro, les crocodiles
Sur les bords du Nil ils sont partis n’en parlons plus
Vivre sous l’équateur du Brésil
Entre Cuba et Manille
A l’heure d’été c’est facile
Prends-moi la main, viens danser
J’ai du soleil sur la peau
J’ai dans le cœur un bongo
J’ai dans la tête un oiseau
Qui te dit tout haut
Viens danser,
Sous les sunlights des tropiques
L’amour se raconte en musique
On a toute la nuit pour s’aimer
En attendant viens danser
J’aime l’océan Pacifique
Ça m’fait quelque chose de magique
Y’a rien à faire qu’à rêver
Prends-moi la main, viens danser
Prends-moi la main, viens danser
Ooh, danse, danse, dans, danse, danse
Vivre, entre les vagues et le ciel
Tu ne seras jamais plus belle
Que cette chanson qui t’appelle
Prends-moi la main, viens danser
J’ai dessiné sur ta peau
Un palmier au bord de l’eau
Qu’est-ce qu’on est bien, tout est beau
fa mi fa sol do
Viens danser,
Sous les sunlights des tropiques
L’amour se raconte en musique
On a toute la nuit pour s’aimer
En attendant viens danser
J’aime l’océan Pacifique
Ça m’fait quelque chose de magique
Y a rien à faire qu’à rêver
Prends-moi la main, viens danser
Prends-moi la main, viens danser
Ooh, danse, danse, dans, danse, danse
Elle était maquillée
Comme une star de ciné
Accoudée au juke-box, hmm-hmm
Elle rêvait qu’elle posait
Juste pour un bout d’essai
À la Century Fox, oh, oh
Elle semblait bien dans sa peau
Ses yeux couleur menthe à l’eau
Cherchaient du regard un spot
Le dieu projecteur
Et moi je n’en pouvais plus
Bien sûr elle ne m’a pas vu
Perdue dans sa mégalo
Moi j’étais de trop
Elle marchait comme un chat
Qui méprise sa proie
En frôlant le flipper, hmm-hmm
La chanson qui couvrait
Tous les mots qu’elle mimait
Semblait briser son cœur
Elle en faisait un peu trop
La fille aux yeux menthe à l’eau
Hollywood est dans sa tête
Tout’ seule elle répète
Son entrée dans un studio
Décor couleur menthe à l’eau
Perdue dans sa mégalo
Moi je suis de trop
Mais un type est entré
Et le charme est tombé
Arrêtant le flipper, han han
Ses yeux noirs ont lancé
De l’agressivité
Sur le pauvre juke-box, oh, oh
La fille aux yeux menthe à l’eau
A rangé sa mégalo
Et s’est soumise aux yeux noirs
Couleurs de trottoir
Et moi je n’en pouvais plus
Elle n’en a jamais rien su
Ma plus jolie des mythos
Couleur menthe à l’eau
Hey coucou, c’est M’man. C’est juste un petit coucou pour savoir si tout allait bien, si y’avait plu hier soir car nous, ici, on a eu un orage mais à tout casser avec éclairs, tonnerre et puis…bon ça s’est calmé. Voilà écoute, je te souhaite bon dimanche, et…et à bientôt. Bisous, bisous, ciao
Quand j’ai froid elle se fait lumière
Comme un soleil dans l’existence
Quand j’ai mal elle se fait prière
Elle me dit tout dans un silence
Quand je souffre, elle souffre avec moi
Quand je ris, elle rit aux éclats
Mes chansons sont souvent pour elle
Elle sera toujours ma merveille
Quand je n’suis pas à la hauteur
Elle m’élève plus haut que le ciel
Elle est la splendeur des splendeurs
Elle est la sève, elle est le miel
C’est son sang qui coule dans mes veines
Et des souvenirs par centaines
Bercent mon cœur de mille étoiles
Elle est ma quête, elle est mon Graal
Oh mon Dieu, laissez-les-moi
Les beaux yeux de la Mama
Enlevez-moi même tout le reste
Mais pas la douceur de ses gestes
Elle m’a porté avant le monde
Elle me porte encore chaque seconde
Elle m’emportera avec elle
Je lui serai toujours fidèle
Quand je me blesse elle est douceur
Comme une caresse dans l’existence
Quand j’abandonne elle devient lionne
Et me relève avec patience
Quand j’ai la folie des grandeurs
Elle me ramène sans me faire mal
Elle est dans ce monde infernal
Mon étoile parmi les étoiles
Oh mon Dieu, laissez-les-moi
Les beaux yeux de la Mama
Enlevez-moi même tout le reste
Mais pas la douceur de ses gestes
Elle m’a porté avant le monde
Elle me porte encore chaque seconde
Elle m’emportera avec elle
Je lui serai toujours fidèle
Oh mon Dieu, laissez-les-moi
Les beaux yeux de la Mama
Enlevez-moi même tout le reste
Mais pas la douceur de ses gestes
Elle m’a porté avant le monde
Elle me porte encore chaque seconde
Elle m’emportera avec elle
Je lui serai toujours fidèle
Moi je m’appelle Lolita
Lo ou bien Lola, du pareil au même
Oh moi je m’appelle Lolita
Quand je rêve aux loups, c’est Lola qui saigne
Oh, quand fourche ma langue j’ai là
Un fou rire aussi fou qu’un phénomène
Oh moi, je m’appelle Lolita
Lo de vie, Lo aux amours diluviennes
C’est pas ma faute
Et quand je donne ma langue au chat je vois les autres
Tout prêts à se jeter sur moi, c’est pas ma faute à moi
Si j’entends tout autour de moi
L.O.L.I.T. A, moi Lolita
Oh moi je m’appelle Lolita
Collégienne aux bas, bleus de méthylène
Oh moi je m’appelle Lolita
Coléreuse et pas, mi-coton, mi-laine
Motus et bouche qui ne dit pas
Oh à maman que je suis un phénomène
Oh moi je m’appelle Lolita
Lo de vie, Lo aux amours diluviennes
Un, deux, trois
C’est pas ma faute
Et quand je donne ma langue au chat je vois les autres
Tout prêts à se jeter sur moi, c’est pas ma faute à moi
Si j’entends tout autour de moi
L.O.L.I.T.A, moi Lolita
Oh, Lolita
Oh, Lolita
Oh, Lolita
Oh, Lolita
C’est pas ma faute
Et quand je donne ma langue au chat je vois les autres
Tout prêts à se jeter sur moi, c’est pas ma faute à moi
Si j’entends tout autour de moi
L.O.L.I.T.A, moi Lolita
C’est pas ma faute
Et quand je donne ma langue au chat je vois les autres
Tout prêts à se jeter sur moi, c’est pas ma faute à moi
Si j’entends tout autour de moi
L.O.L.I.T. A, moi Lolita
Moi Lolita